Perspectives d’emploi Ingénieur/ingénieure en structures aérospatiales en Colombie-Britannique

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Explorez les perspectives d’emploi actuelles et futures des personnes qui travaillent comme d’ingénieur/ingénieure en structures aérospatiales en Colombie-Britannique ou dans l’ensemble du Canada.

Débouchés en Colombie-Britannique

Ces perspectives d’emploi ont été mises à jour le 11 décembre 2024.

Perspectives au cours des 3 prochaines années

Les perspectives d'emploi seront modérées pour les ingénieurs/ingénieures en aérospatiale (CNP 21390) en Colombie-Britannique pour la période 2024 à 2026.

Les facteurs suivants ont contribué à cette conclusion :

• la croissance d'emploi prévue devrait entraîner la création de quelques postes
• plusieurs postes deviendront disponibles en raison de départs à la retraite
• quelques travailleurs expérimentés sont à la recherche d'un emploi dans cette profession

Le domaine aérospatial de la Colombie-Britannique est le chef de file canadien en matière d'activités d'entretien, de réparation, de révision ou de modification.

Les investissements d'envergure qui permettraient d'offrir des possibilités d'emploi comprendraient celui de De Havilland Canada pour construire des composants d'aéronefs à Saanich (île de Vancouver). De plus, à la fin de 2023, Boeing a obtenu le contrat de la construction d'aéronefs P-8A Poseidon. Les mesures de Boeing comprennent celles des investissements dans la mise à niveau des technologies de ses installations de Vancouver et dans les activités de la COTA Aviation, soit une société autochtone à Parksville (à l'île de Vancouver).

Voici quelques faits saillants au sujet des ingénieurs/ingénieures en aérospatiale en Colombie-Britannique :

• environ 250 personnes occupaient un poste dans cette profession en mai 2021
• les ingénieurs/ingénieures en aérospatiale travaillent principalement dans les industries suivantes :
  • construction de navires et d'embarcations (SCIAN 3366) : 59 %
  • architecture, génie et services connexes (SCIAN 5413) : 14 %
  • autre transport et entreposage (SCIAN 482-483, 486, 487, 493) : 12 %
  • transport aérien (SCIAN 481) : 7 %
  • administration publique fédérale (SCIAN 911) : 7 %
• 88 % des ingénieurs/ingénieures en aérospatiale travaillent toute l'année tandis que 12 % travaillent seulement une partie de l'année, par rapport à 61 % et 39 % respectivement dans toutes les professions. Ceux qui travaillent seulement une partie de l'année le font en moyenne pendant 49 semaines par rapport à 42 semaines dans toutes les professions
• 7 % des ingénieurs/ingénieures en aérospatiale sont des travailleurs autonomes, par rapport à 17 % dans toutes les professions
• leur répartition selon le sexe est :
  • hommes : 84 % par rapport à 52 % dans toutes les professions
  • femmes : 16 % par rapport à 48 % dans toutes les professions
• le niveau d'éducation atteint par les travailleurs de cette profession est :
  • pas de diplôme d'études secondaires : n.d.
  • diplôme d'études secondaires ou l'équivalent : moins de 5 % par rapport à 28 % dans toutes les professions
  • certificat ou diplôme d'apprenti ou d'école de métier : n.d.
  • attestation ou diplôme d'études collégiales ou certificat universitaire de premier cycle : 23 % par rapport à 17 % dans toutes les professions
  • baccalauréat : 48 % par rapport à 22 % dans toutes les professions
  • certificat ou diplôme universitaire supérieur au baccalauréat : 21 % par rapport à 12 % dans toutes les professions

Ventilation par région

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Source Information sur le marché du travail | Méthodologie des perspectives d’emploi

Conditions du marché du travail au cours des 10 prochaines années

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