Perspectives d’emploi Développeur/développeuse d'applications dorsales à l’Île-du-Prince-Édouard

Explorez les perspectives d’emploi actuelles et futures des personnes qui travaillent comme de développeur/développeuse d'applications dorsales à l’Île-du-Prince-Édouard ou dans l’ensemble du Canada.

Débouchés à l’Île-du-Prince-Édouard

Ces perspectives d’emploi ont été mises à jour le 29 novembre 2023.

Perspectives au cours des 3 prochaines années

Modérées

Les perspectives d'emploi seront modérées pour les développeurs/développeuses et programmeurs/programmeuses web (CNP 21234) à l'Île-du-Prince-Édouard pour la période 2023 à 2025.

Les facteurs suivants ont contribué à cette conclusion :

  • la croissance d'emploi prévue devrait entraîner la création d'un certain nombre de postes
  • quelques postes deviendront disponibles en raison de départs à la retraite
  • quelques travailleurs expérimentés sont à la recherche d'un emploi dans cette profession
Les perspectives d'emploi dans cette profession devraient être favorables, car la pandémie a forcé de nombreuses entreprises et organisations à modifier leur façon de faire des affaires, en devenant de plus en plus numérisées et automatisées.

Les perspectives d’emploi dans cette profession devraient être favorables, car la pandémie a forcé de nombreuses entreprises et organisations à modifier leur façon de faire des affaires, en devenant de plus en plus numérisées et automatisées. 

La demande dans ce domaine continuera de croître grâce à l’utilisation accrue de l’Internet et de la technologie mobile en tant qu’outils promotionnels pour les produits et services des entreprises, et elle profitera également des transactions en ligne. Toutefois, une plus grande productivité liée à la disponibilité de modèles préconçus et la sous-traitance des travaux liés au Web vers des pays à moindres coûts pourraient modérer la demande pour ces professionnels. Les ventes au détail du commerce électronique, par exemple, ont augmenté durant la pandémie étant donné le passage de plusieurs détaillants vers les ventes en ligne. En outre, la tendance à l’achat en ligne, ainsi que le recours à d’autres services virtuels, favorisera les possibilités d’emploi dans cette profession au fil de la période de prévision.

Le perfectionnement professionnel continu est une exigence au sein de cette profession, compte tenu du rythme rapide de l’évolution et de l’adoption de nouvelles technologies comparativement à d’autres professions. Avoir de l’expérience en programmation informatique, sécurité de sites Web, infonuagique et avec certains types de médias sociaux pourrait également constituer un atout. Outre de solides connaissances techniques, les professionnels qui détiennent d’excellentes aptitudes en communication, des compétences non techniques et des connaissances en affaires pourraient également mieux réussir sur le marché du travail.

Le travail exercé dans le cadre de cette profession ne connaît pas de frontières géographiques. Par conséquent, les possibilités commerciales pourraient être aussi bien à l’échelle locale qu’à l’échelle nationale ou mondiale.

Voici quelques faits saillants au sujet des développeurs/développeuses et programmeurs/programmeuses web à l'Île-du-Prince-Édouard :

  • environ 200 personnes occupaient un poste dans cette profession en mai 2021
  • les développeurs/développeuses et programmeurs/programmeuses web travaillent principalement dans les industries suivantes :
    • conception de systèmes informatiques et services connexes (SCIAN 5415) : 56 %
    • administration publique fédérale (SCIAN 911) : 18 %
    • autres services professionels, scientifiques et techniques (SCIAN 5414, 5416-5419) : 8 %
    • universités (SCIAN 6113) : 8 %
    • administrations publiques provinciales et territoriales (SCIAN 912) : 7 %
  • leur répartition entre le travail à temps plein et à temps partiel est :
    • travail à temps plein : 94 % par rapport à 84 % dans toutes les professions
    • travail à temps partiel : 6 % par rapport à 16 % dans toutes les professions
  • 78 % des développeurs/développeuses et programmeurs/programmeuses web travaillent toute l'année tandis que 22 % travaillent seulement une partie de l'année, par rapport à 59 % et 41 % respectivement dans toutes les professions. Ceux qui travaillent seulement une partie de l'année le font en moyenne pendant 44 semaines par rapport à 41 semaines dans toutes les professions
  • 22 % des développeurs/développeuses et programmeurs/programmeuses web sont des travailleurs autonomes, par rapport à 13 % dans toutes les professions
  • leur répartition selon le sexe est :
    • hommes : 78 % par rapport à 51 % dans toutes les professions
    • femmes : 22 % par rapport à 49 % dans toutes les professions
  • le niveau d'éducation atteint par les travailleurs de cette profession est :
    • pas de diplôme d'études secondaires : n.d.
    • diplôme d'études secondaires ou l'équivalent : 5 % par rapport à 28 % dans toutes les professions
    • certificat ou diplôme d'apprenti ou d'école de métier : n.d.
    • attestation ou diplôme d'études collégiales ou certificat universitaire de premier cycle : 32 % par rapport à 25 % dans toutes les professions
    • baccalauréat : 43 % par rapport à 17 % dans toutes les professions
    • certificat ou diplôme universitaire supérieur au baccalauréat : 11 % par rapport à 8 % dans toutes les professions

Conditions du marché du travail au cours des 10 prochaines années

Explorez les perspectives d’emploi actuelles et futures des personnes qui travaillent comme de développeur/développeuse d'applications dorsales Concepteurs/conceptrices et développeurs/développeuses Web (CNP 21234) ou dans l’ensemble du Canada.

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